2015-03 Une restauration au ralenti...

Suite à l''orage de juin 2014, une grande partie des hangars a été rendue indisponibe et il a fallu trouver rapidement de la place pour les avions les plus fragiles, les "bois et toile" .

Les 3 hangars du musée, fermés à toute visite et dont les accès étaient restreints à quelques personnes habilitées, il n'était donc pas possible de rentrer notre DC3, ni même le JU52.

Pour le Junker, cela n'a pas causé de problème, mais pour notre DC3, partiellement décapé, le plan fixe de profondeur abimé par la grêle et les portes cargo et paras fraichement repeints au primaire, nous avions quelques craintes.

Les réparations des toitures du musée volant on commencé à l'automne et ce sont terminées en janvier 2015.

Mais comme d'autres hangars et notamment celui qui sert de stockage de pièces et matériels divers, doivent également être remis en état, leur contenu est transféré provisoirement dans les hangars du muséée volant ce qui ne laisse maheureusement pas de place pour notre DC3 contraint de rester dehors.

Une autre zone d'ombre se profile à  l'horizon en ce qui concerne nos travaux de restauration. Les visites du public ne sont pas vraiment compatibles avec de travaux de décapage et il nous faut donc trouver une solution de repli pour terminer cette étape indispensable.

Aujourd'hui seul le DC3 réside à l'extérieur et nous espèrons une résolution rapide à cette situation.  

En attendant, nous continuons de traiter des petites pièces, (platine de gouverne de direction, pièces des capots de trappes de trains, compensateur de profondeur, gouvernes de profondeur et de direction), en ce momment nous sommes en train de réunir quelques caisses de pièces détachées dans un nouvel atelier en commun avec le Junkers 52. Mais bien que notre Dak soit  immobilisé depuis presque 9 mois, nous gardons le moral et de l'énergie pour gérer la suite de cette triste situation.

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